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Au nom de la lutte contre le climat, les écologistes de tous poils ont déclaré la guerre à tout ce qui roule sur 4 roues.
Il n'y a pas d'autre mot pour qualifier les actions menées par ces khmers d'un nouveau genre à l'encontre des automobilistes.
Non que je nie l'impact des énergies fossiles sur le réchauffement climatique.

Je réfute simplement la manière dont la lutte est menée.

De fait, tout est décidé et fait sans ligne directrice réfléchie, au mépris de tout ce qui n'est pas conforme au dogme "écologie" censé être le nirvanha de la société future, et qui plus est sans concertation digne de ce nom.
Après avoir longtemps été considéré comme le moyen de locomotion des "pauvres", le vélo est soudain devenu un signe extérieur de "l'écologiquement correct" et, à ce titre paré de toutes les vertus.
De fait les municipalités, écologiques en tête, suivies comme des moutons de panurge par les élus des autres partis, pour s'attirer quelques voix supplémentaires aux prochaines élections, se sont attelées à transformer les communes en chantiers permanents aux fins de les rendre plus accessibles à ce que l'on appelle les "mobilités douces".

A entendre les collectivités locales, les budgets sont exsangues; pourtant, et chacun peut le constater, il n'est guère de commune où des travaux d'envergure ne sont entrepris pour transformer la voirie en vélodrome.
Et ce, d'une manière souvent anarchique, pour ne pas dire ubuesque.
Il n'est pas rare, en effet de s'apercevoir qu'une rue à double sens, où deux voitures pouvaient à peine se croiser, se voir nantie de deux pistes cyclables .
De ce fait lorsque les voitures se croisent, impossible de ne pas empiéter sur les voies réservées aux vélos.
La France est un pays deux fois millénaire où les infrastructures se sont peu à peu mises en place au fil des siècles et au gré des moyens de transport et de déplacement.
Les écologistes imposent une transformation radicale et immédiate. Tout comme si un commandant de paquebot souhaitait manoeuvrer comme un pilote de hors bord ! Une aberration totale!
L'exemple typique en est la transformation d'une ville qui m'est chère où je me rends de moins en moins: LYON.
Je m'y rendais 2 fois par mois environ (je vis à une centaine de kilomètres du centre ville) pour flâner et y faire des achats en centre ville.
La circulation est devenue impossible (sans réduire la pollution ni les embouteillages, bien au contraire) de ce fait, au lieu de me rendre dans les commerces dits "de proximité", je me suis tourné vers les plate-formes de vente en ligne...Je ne suis pas certain que l'écologie y ai gagné.
Et je ne suis sûrement pas le seul à agir ainsi !

La mise en place du "tout vélo" se fait comme le plus souvent en France, au rythme du dogmatique et des échéances électorales, sans réflexion approfondie sur les conséquences et implications diverses à moyen et long terme.
Les voies cyclables se multiplient à l'envi, très souvent sans rationnalité aucune, ce qui, de ce fait, aboutira inéluctablement à des corrections coûteuses au cours des prochaines années.
Les villes se sont progressivement adaptées à la circulation automobile depuis que sont apparus les premiers véhicules à moteur.
La règlementation aussi: code de la route, panneaux de signalisation, port de la ceinture de sécurité, etc.
L'augmentation exponentielle du nombre de vélos, trotinettes etc dans un environnement de bric et de broc ne peut que créer des problèmes.
Le fait est que, outre les complications dues au rétrécissements intempestifs et anarchiques des chaussées, des antagonismes liés à la cohabitation de ces divers moyens de locomotion se multiplient, ce qui est tout à fait logique.

Les cyclistes, portés par le tsunami écologiste, s'estiment, le plus souvent, en droit de se comporter comme il leur plaît, sans considération aucune ni pour les piétons qui doivent leur céder le passage, ni pour les automobilistes, infâmes pollueurs par nature !
Non que les automobilistes soient toujours corrects, loin s'en faut, mais force est de constater que les querelles prennent souvent leur source dans le non respect du code de la route par les cyclistes qui roulent sur les trottoirs (interdit par le code de la route), traversent les passages piétons (alors qu'ils devraient le faire en posant pied à terre), slaloment entre les voitures, se faufilent le long des trottoirs même lorsque la place est restreinte, passent au feu rouge, roulent à deux sur une trottinette etc...
Tout cela avec un parfait sentiment d'impunité, et pour cause !
Sauf à ce qu'un agent des forces de l'ordre soit présent sur les lieux pour l'interpeller, il est quasiment impossible de verbaliser ces contrevenants, dans la mesure où il n'existe aucun moyen de les identifier.
De plus, il est des endroits où les vélos, trottinettes et assimilés, circulent à qui mieux mieux entre les piétons sans que la police n'intervienne, alors que des panneaux très visibles balisent les avenues concernées. J'en donnerai un seul exemple: la promenade du bord de mer à La Grande Motte où des panneaux bien visibles interdisent de rouler à vélo ou en trottinette... Ces panneaux ne sont absolument pas respectés.. d'ailleurs, aucun policier en vue sur l'esplanade... Par contre, n'oubliez pas de payer votre stationnement.... l'amende arrive très vite !
Lorsque l'on prend une décision, on doit avant tout s'assurer que l'on est capable de la mettre en application. Si ce n'est pas le cas, il est préférable de s'abstenir au risque de perdre son crédit.
Si la municipalité de la Grande Motte (ou d'ailleurs) n'a pas les moyens de faire appliquer ses décrets, qu'elle s'abstienne !
On lit de ci, de là, au gré du parti pris des auteurs, que ce sont les automobilistes responsables des infractions, conflits et accidents, ou que la responsabilité en incombe aux cyclistes ou aux piétons.
En fait, les responsables premiers sont les écologistes qui imposent leurs idées sans mesurer, et encore moins étudier les conséquences de leurs décisions, ni prendre les mesures de manière cohérente.

Face au nombre croissant d'utilisateurs de deux roues (motorisés ou pas), il me semble temps de règlementer ces moyens de locomotion afin fluidifier l'usage.
Ce qui n'était pas nécessaire il y a quelques années devient urgent aujourd'hui.

  • Tout d'abord, rendre le casque obligatoire pour tous les véhicules à deux roues, motorisés ou non. Une chute en ville même à moins de 10 km/h peut être extrêmement grave, et souvent les 10 km/h sont dépassés tant par les cyclistes que les "trottinettistes"...
  • Rendre obligatoire un rétroviseurs sur ces véhicules permettrait de mieux voir les voitures qui s'apprêtent à les dépasser et, le cas échéant de faire preuve de davantage de prudence.
  • Mettre un place un permis théorique allégé pour TOUS LES DEUX ROUES et véhicules motorisés dits de "mobilité douce".
  • Immatriculer tous les véhicules deux roues et autres engins de mobilité individuelle motorisés. Cela permettrait de verbaliser beaucoup plus facilement les contrevenants et autres imprudents.
  • Faire appliquer l'interdiction d'écouteurs.
  • Suggestion à étudier: Pour les infractions graves de cyclistes, retirer un point sur le permis de conduire s'il y a lieu.

Un automobiliste qui sur une ligne droite plusieurs kilomètres roule à 90 km/h au lieu de 80 km/h se voit verbalisé sans vergogne alors qu'il est sans doute moins dangereux que nombre d'utilisateurs de trottinettes et autres véhicules de même type.

Soyons pragmatiques et si tant est que les amendes soient mises en place pour la sécurité, ne privilégions pas les cyclistes de manière inconsidérée en leur favorisant l'impunité sans limite.

Pour conclure, nous dirons que la sphère écologique est devenue une sphère de dictature de l'écologie, sans considération aucune pour les avis et opinions divergentes.
Une obsession: annihiler toute opposition, quelle qu'elle soit.
Le plan "Tout vélo" en est l'une des composantes parmi les plus emblématiques.
Tout doit être sacrifié pur les mobilités dites "douces", sans véritable concertation, sans étude sur ses conséquences et ses coûts.

D'où une croissance anarchique et génératrice de conflits et d'accidents de la mise en oeuvre du plan "Tout vélo".
Oui aux mobilités alternatives, sans que ce soit mis en place comme une guerre aux véhicules 4 roues que l'on doit détruire en tant que symbole d'une époque révolue.

LA SOCIETE

Regards sur la société française d'aujourd'hui. Ses réussites, ses échecs, son passé, son avenir mêlant objectivité et subjectivité d'un français moyen.

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Napoléon

Aspects connus et inconnus de l'homme d'état français le plus connu au monde. La plupart du temps critiqué par ceux qui ne connaissent rien de lui.

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